Je me rendais dans ma ville natale, Varsovie, sans trop d’espoir de retrouver le bonheur d’autrefois », écrit Agnieszka Grudzinska, professeure émérite à la Sorbonne et issue de la génération ’68. Et puis j’ai vu…J’ai vu dans les rues la foule dense qui ne s’arrêtait jamais, bigarrée, pacifique, dansante, avec des pancartes et des slogans ingénieux et si drôles.