De gauche à droite : Bassam Abou Zeid, Layal Ikhtiyar, Georges Eid et Rima Assaf. Photo DR
Source : L’Orient-Le Jour
Face à la crise économique et politique qui perdure, de nombreux journalistes libanais délaissent les chaînes de télévision locales pour tenter leur chance à l’étranger. Ainsi, Georges Eid, qui multiplie ses correspondances avec un quotidien chypriote, Cyprus Mail ou avec la chaîne de télévision Voice of America, pour préserver une qualité de vie à sa famille. Ce qu’il dénonce c’est « une situation dans laquelle un être humain ne peut vivre ».« C’est la croix et la bannière pour accéder à l’électricité, aux médicaments et à nos économies. Nous mendions tout! »
