Le 4 août dernier la capitale libanaise Beyrouth fait face à l’un des plus grands drames de son histoire. Deux gigantesques explosions survenues dans le port dévastent littéralement une grande partie de la ville .Dans les rues les visions sont apocalyptiques, voitures calcinées ,sol jonché de débris de verre, habitations soufflées …Des centaines d’hommes et de femmes trouveront la mort ,des milliers seront blessés. Nous allons inauguré avec Najib Khazzaka , longtemps responsable du bureau de l’AFP à Beyrouth, notre série « Franc-parler », qui donne la parole à des journalistes de l’espace francophone. Dans cet entretien téléphonique, recueillis par Catherine Kammermann, Najib Khazzaka raconte le désarroi de la population aujourd’hui et aucune désignation de coupables .
NDLR : Peu après l’explosion ,dans une allocution télévisée, le secrétaire général du parti libanais Hezbollah a nié tout lien avec le matériel explosif stocké dans le port.