Les élections, suivies de peu de la mort du président Pierre Nkurunziza ont précipité le Burundi dans l’une des périodes les plus sombres de son histoire. La situation de la liberté de presse s’est considérablement détériorée et les rares voix indépendantes évoluent dans un contexte difficile caractérisé par la peur permanente de subir des représailles dans l’impunité.