
Source : Le Monde
L’ONG qui défend la liberté de la presse s’est mis à dos une partie des reporters issus des mouvements sociaux, alors que depuis plusieurs semaines la colère gronde contre l’article 24 de la proposition de loi « sécurité globale ». Christophe Deloire serait « trop proche du pouvoir », au point d’avoir tardé à condamner l’article susceptible de pénaliser les images des exactions policières. Sur les réseaux sociaux, les critiques pleuvent contre l’ONG qui défend la liberté de la presse partout dans le monde.