
Le journaliste marocain d’investigation Omar Radi a comparu le 22 septembre devant le juge d’instruction à Casablanca pour trois chefs d’accusation, donc des accusations de viol, d’espionnage et de réception de dons de l’étranger. Le journaliste avait surtout, par son travail, mis en lumière les affaires de corruption touchant le pouvoir marocain. La Fédération internationale des journalistes (FIJ) se joint à son affilié le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) pour exiger une enquête impartiale.