
La catastrophe était annoncée. Elle est là, à la faveur de la crise sanitaire, qui a fait plonger le marché publicitaire. La presse suisse vit une des pires crises de son histoire. Lorsque le patron des éditeurs alémaniques, Pietro Supino, annonce qu’un tiers des titres pourrait disparaître ces prochaines années, il faut le croire. Je vous propose mon édito, paru dans l’édition du jour du magazine « Bilan »