Par Romaine Jean
La dictature de l’émotion pèse-t-elle sur le journalisme ? Constitue-t-elle un frein à la bonne information, au même titre que la censure ? La question est centrale dans le monde des médias et a été débattue par plus de 300 journalistes, aux 48e Assises de l’Union de la Presse francophone à Yaoundé, au Cameroun.